dimanche 19 août 2007

Le mot de la fin

A trop vouloir courir après le temps,
je suis passée à côté et je n'ai rien vu.
C'était là pourtant. Il me fallait juste ouvrir les yeux.
Je vais maintenant aller à sa rencontre. Prendre le temps de le découvrir et de comprendre.
Je raconterai peut-être ailleurs, plus tard.
Peut-être...



Je vais laisser ce jardin s'enfricher.
Les herbes folles vont gagner du terrain,
mais les pensées subsisteront car elles sont vivaces...

Merci à ceux qui sont passés et à ceux qui se sont arrêtés.











Le vent se lève !... il faut tenter de vivre !
L'air immense ouvre et referme mon livre,
La vague en poudre ose jaillir des rocs !
Envolez-vous, pages tout éblouies !

Paul Valéry